Un bon pot-au-feu se déguste avec deux traits d'union, et en un sens vieilli, il peut également s'agit du plat dans lequel a mijoté ce plat.
Le pluriel est des pot-au-feu.
Le pot aux roses est aussi un récipient, et se découvre sans trait d'union. L'origine de l'expression reste incertaine, la plus vraisemblable étant sans doute celle qui la fait remonter au Moyen Âge sous la forme « Car je tantost descouvreroi le pot aux roses », le verbe découvrir ayant alors le sens de soulever le couvercle : le pot aux roses aurait contenu de l'eau de rose, ancêtre volatile du parfum. (Réf. le Dictionnaire de l'académie).
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